Le K enfile son costume de père Castor pour vous énoncer une théorie, elle à pour but de vous permettre de déguster avec un grand plaisir vos prochaines soirées.
Premier point à maîtriser, anticiper la qualité. Une soirée organisée de longue date, que celle-ci comporte une troupe de joyeux lurons amuseurs de galerie ou non, sera décevante. L’attente de la fête aura eu le temps d’attiser le feu du désir des participants, qui souhaiteront passer la meilleure soirée à laquelle ils ont eu l’honneur de goûter dans le passé. Exemple frappant, la Saint-Sylvestre (malgré la haine irascible que le K porte à ce mot composé, il l’emploi pour diversifier son vocabulaire, bien qu’il ne soit pas sur de l’incorporer dans la version finale de cet article). Revenons à nos chatons, bien que la soirée du nouvel an n’est pas foncièrement nulle, euh…si c’est à jeter à la poubelle. Sans s’ennuyer à mourir, elle ne reste jamais la soirée la plus mémorable de l’année.
Second point à maîtriser, la soirée de niveau convenable. Celle-ci se, prévoit quelques jours à l’avance, souvent pour un anniversaire, parfois pour revoir des amis que l’on a pas l’occasion de voir régulièrement. Le lieu de rendez-vous, soit chez l’organisateur, soit dans un bar, favorise la réussite de la soirée et le plaisir de chacun. Sans être exceptionnelle, elle ne déçoit personne (excepté les deux individus un peu étrange, souvent des dames, qui insistent pour se rendre dans une boite de nuit, qui, pour le coup, marquerait un échec cuisant de l’organisation, et une lourde chute du niveau d’exigence de chacun).
Troisième et dernier point, la soirée qui reste dans les mémoires, que l’on raconte encore et encore sans s’en lasser. L’organisation est cette fois ci plus précaire. Le lieu et l’heure du rendez-vous se fixe soit trente minutes avant celui-ci, soit, mieux encore, se décide au moment d’une rencontre inattendu. La soirée débute généralement dans un bar, pour prendre l’apéritif, qui permet de se décider à poursuivre dans un restaurant, en conviant d’autres amis qui ont l’habitude de rester terrer dans leur cocon. Une fois le ventre bien tendu, dans un repas rythmé par les rires et les bruits d’extraction des bouchons des bouteilles de vin, le comité d’une dizaine de personnes (environ) se décide à entamer une tournée des pubs, puis de terminer le marathon dans un endroit improbable, ou la musique permettra à chacun d’exprimer ses pas de danse qu’il ne peut offrir qu’à l’élite de son cœur, qui se trouve autour de lui.
Notus Benedicto : par faineantise, le K n’a pas envie de relire ce qu’il à ecrit, veuillez lui excuser cet écart de conduite.
Bien a vous, le K
Premier point à maîtriser, anticiper la qualité. Une soirée organisée de longue date, que celle-ci comporte une troupe de joyeux lurons amuseurs de galerie ou non, sera décevante. L’attente de la fête aura eu le temps d’attiser le feu du désir des participants, qui souhaiteront passer la meilleure soirée à laquelle ils ont eu l’honneur de goûter dans le passé. Exemple frappant, la Saint-Sylvestre (malgré la haine irascible que le K porte à ce mot composé, il l’emploi pour diversifier son vocabulaire, bien qu’il ne soit pas sur de l’incorporer dans la version finale de cet article). Revenons à nos chatons, bien que la soirée du nouvel an n’est pas foncièrement nulle, euh…si c’est à jeter à la poubelle. Sans s’ennuyer à mourir, elle ne reste jamais la soirée la plus mémorable de l’année.
Second point à maîtriser, la soirée de niveau convenable. Celle-ci se, prévoit quelques jours à l’avance, souvent pour un anniversaire, parfois pour revoir des amis que l’on a pas l’occasion de voir régulièrement. Le lieu de rendez-vous, soit chez l’organisateur, soit dans un bar, favorise la réussite de la soirée et le plaisir de chacun. Sans être exceptionnelle, elle ne déçoit personne (excepté les deux individus un peu étrange, souvent des dames, qui insistent pour se rendre dans une boite de nuit, qui, pour le coup, marquerait un échec cuisant de l’organisation, et une lourde chute du niveau d’exigence de chacun).
Troisième et dernier point, la soirée qui reste dans les mémoires, que l’on raconte encore et encore sans s’en lasser. L’organisation est cette fois ci plus précaire. Le lieu et l’heure du rendez-vous se fixe soit trente minutes avant celui-ci, soit, mieux encore, se décide au moment d’une rencontre inattendu. La soirée débute généralement dans un bar, pour prendre l’apéritif, qui permet de se décider à poursuivre dans un restaurant, en conviant d’autres amis qui ont l’habitude de rester terrer dans leur cocon. Une fois le ventre bien tendu, dans un repas rythmé par les rires et les bruits d’extraction des bouchons des bouteilles de vin, le comité d’une dizaine de personnes (environ) se décide à entamer une tournée des pubs, puis de terminer le marathon dans un endroit improbable, ou la musique permettra à chacun d’exprimer ses pas de danse qu’il ne peut offrir qu’à l’élite de son cœur, qui se trouve autour de lui.
Notus Benedicto : par faineantise, le K n’a pas envie de relire ce qu’il à ecrit, veuillez lui excuser cet écart de conduite.
Bien a vous, le K
1 commentaire:
Je cite: "Yo! Bière ce soir?" envoyé a 18h30. Le K improvise et réussit à tous les coups... à nous casser les burnes...
JE PEUX PAAAAS SORTIR BORDEL .. vous me manquez :'(
Sylvester Karibou
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