Les Stones sont les rois du rock, les Beatles les maîtres de la pop, nous le savons tous. Il ne faut cependant pas placer la bestiole avant la charrette, ou l’inverse, ou peut-être que l’expression n’existe pas, peu importe, le K l’invente sur le champ s’il s’en avère la nécessité. Tout cela pour dire que les Beatles ont leur place dans le top of the top, un fauteuil bien chauffé sur le podium, classe. Les Fab four représentent une pierre angulaire dans l’histoire du rock, de la musique. Si le rock serait représenté par une maison, les Beatles constitueraient les fondations et la cave de celle-ci. Au delà des hymnes, des morceaux qui peuvent accompagner chaque moment de votre vie, ils ont produits l’étincelle qui permet de découvrir les différents horizons qui s’offrent aux musiciens.
La difficulté des albums des Beatles est, du moins pour le K, de le classer dans un genre, notamment pour celui qui s’installe ici avec la médaille de bronze.
Sergent Pepper's Lonely Hearts Club Band, Rock ? Psyché ? Pop ? Probablement tout à la fois. Une nouvelle fois les limites posées par la règle du Klassement sont menées à rudes épreuves. On s’en moque. Sergent Pepper est grand, très grand, que ce soit par sa diversité, son innovation, sa puissance, sa sonorité, tout y est pour faire chuter une armée de Goliaths venus critiquer la musique ou les coupes de cheveux peu inspirées des Kids de Liverpool.
La difficulté des albums des Beatles est, du moins pour le K, de le classer dans un genre, notamment pour celui qui s’installe ici avec la médaille de bronze.
Sergent Pepper's Lonely Hearts Club Band, Rock ? Psyché ? Pop ? Probablement tout à la fois. Une nouvelle fois les limites posées par la règle du Klassement sont menées à rudes épreuves. On s’en moque. Sergent Pepper est grand, très grand, que ce soit par sa diversité, son innovation, sa puissance, sa sonorité, tout y est pour faire chuter une armée de Goliaths venus critiquer la musique ou les coupes de cheveux peu inspirées des Kids de Liverpool.
Sans vous tartiner un pâté bien trop lourd à cette heure, des morceaux qui s’intègrent (pour la 999è fois environ) dans les oreilles du K en ce moment même font frétiller ses épaules, ses coudes, puis ses mains pour vous obliger à poser le vinyle sur votre platine et attirer votre attention sur des passages exceptionnels de l’album.
« I twas twenty (bien plus mais faisons-en abstraction) years ago today
Sergent Pepper taught the band to play
They’ve been going in and out of style
But they’re gauranteed to raise a smile »
De la chanson du nom de l’album, du LSD mais surtout pour terminer sur la plus grande chanson des Beatles, écrite par le duo Lennon-McCartney, chacun de leur coté ayant composé des paroles, qui vont s’épouser tel un couple amoureux, sauf que la liaison sera loyale et éternelle. A day in the life. Peut-être que vous prenez l’auteur pour un fou, que vous ne trouvez rien de croustillant dans ce morceau, bien pis encore, vous considérez que cette chanson est décousue, impropre, sans saveur. N’abandonnez pas ! Il faut l’écouter encore et encore, sans relâche, à toute période de l’année, à tout moment de la journée, votre jugement changera maintes fois, puis la révélation viendra, parole de K.
Surtout, pas de remerciements, la philosophie suivie est celle du sergent poivre, « with a little help FOR my friends ».
Peace and love, the K.
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