samedi 23 mai 2009

Internet ou la romance sexuelle


Jeune roumaine de 18 ans, Alina Percea, recherchant des fonds pour financer ses études, a vendu sa virginité sur la toile. Intéressant.
Un homme d’affaire italien de 45 ans (comme par hasard, cochon !) a remporté la mise, 10 000 euros. A ce prix la, espérons que l’hymen de la demoiselle a prit place dans son musée personnelle. Bien qu’elle désirait obtenir 70 000 euros pour sa mise à nue.




Que dire ? Pourquoi ne pas profiter de la faim de certains hommes pour remplir son…................
portefeuille.
La généralisation de l’accès à Internet peut donc créer deux problèmes selon l’humble avis du K. Le premier, telle la publicité pour la musique des groupes amateurs, les prostitués vont pouvoir dorénavant faire abstraction des maquereaux, ce qui finalement n’est peut être pas une mauvaise chose.
Le second point touche plus particulièrement l’espèce des quarantenaires et quinquagénaires français, amateurs du vivier est européen des marchandises folâtrant aux alentours des QG de la SNCF. En effet, si les jeunes femmes de petites vertus peuvent multiplier les prix de vente de leurs corps, la population friande de la consommation peu catholique dont nous parlons éprouvera des problèmes à subvenir à leurs besoins (haha !), notamment en ces temps de crise.



La solution au problème est pourtant toute trouvée. Il va falloir envoyer une cargaison de dragueurs invétérés (type Barney Stinson) dans l’empire de la débauche, pour faire succomber au charme irrésistible de la race des dragueurs, qui se feront une joie de faire perdre, gratuitement, la virginité des plus belles montures, ne pouvant ainsi fixer des prix inabordables pour le commun des mortels.


Pisse and "Love", le K


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